Accompagner les mandataires intermédiaires en opérations de banque

Être présent auprès des mandataires intermédiaires en opérations de banque (MIOB), des courtiers en crédit et des agents immobiliers pour faire valoir leurs droits auprès des distributeurs et défendre leurs intérêts.
Notre cabinet d’avocats a développé une expertise en droit des intermédiaires en opérations de banque, notamment sur les conséquences de la sortie et l’application de la clause de non-concurrence qui les lie au mandant.
Trop souvent cette clause de non-concurrence est abusive et empêche les intermédiaires de continuer à exercer leur métier. Accompagner les intermédiaires lors de litiges et de contentieux judiciaires par rapport à la validité de cette clause en cas de rupture avec leur distributeur, c’est non seulement défendre leur liberté d’entreprendre pour qu’ils puissent poursuivre leur activité, mais c’est aussi défendre la liberté des consommateurs et celle du marché, une liberté trop souvent remise en cause.
Nous répondons à toutes leurs questions sur la légitimité de la clause de non-concurrence et son application, sur sa validité ou sa nullité en cas de rupture ou de litige. Comme toute clause de non-concurrence, celle imposée aux intermédiaires en opérations de banque répond à des critères stricts. Sa limitation dans le temps doit être raisonnable, sa limitation dans l’espace doit mentionner une zone géographique clairement définie, la spécification de l’activité doit également être précise et la contrepartie financière doit proposer une indemnité compensatrice suffisamment significative. Nous avons développé une véritable expertise pour assurer la sécurité juridique des intermédiaires et leur permettre de poursuivre sereinement leur activité.

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Nos domaines d’expertise

Anticiper, agir et gagner

Anticiper, agir et gagner

Exemple d’accompagnement

Rupture abusive

La société [SIF] a fait appel au cabinet Ôdience afin de demander la constatation d’une rupture abusive de son contrat avec la société [SC] ainsi que des indemnités pour préjudice moral et des rappels de commissions. Le contrat liant la société [SC] à la [SIF] a été jugé comme rompu unilatéralement et ce, sans motif légitime. La société [SC] a donc été contrainte de verser une somme à la société [SIF] à titre de dommages et intérêts, en réparation du préjudice subi. Le juge a également condamné la société [SC] au paiement des frais de procédure et à reverser, à l’autre partie, une indemnité au titre des frais exposés et non compris dans les dépens.
  • Vous êtes mandataire intermédiaire en opérations de banque (MIOB), courtier en crédit ou agent immobilier et vous avez besoin d’un conseil pour l’évolution de votre contrat avec votre distributeur ?